Déstigmatisation de la santé mentale au sein la profession juridique

On observe une évolution des attitudes envers la santé mentale au sein de la profession juridique. Tant les professionnels que les organisations commencent à parler ouvertement de ce sujet autrefois stigmatisé et tabou, d’échanger leurs idées et de réévaluer le comportement organisationnel.

Dans un article du Globe and Mail, Emily Atkinson, la directrice générale - Formation juridique et ressources professionnelles de Torys qui codirige les initiatives liées au bien-être au sein du cabinet, constate le changement qui s’opère dans le milieu.

« Plusieurs grands cabinets commencent à échanger des idées sur la façon de répondre aux enjeux de santé mentale, un processus amorcé après le sommet sur la santé mentale qui a eu lieu l’année dernière », a-t-elle affirmé.

La plupart des cabinets surveillent la charge de travail de leurs employés. Torys utilise une technologie qui retarde l’envoi de courriels afin de réduire les communications en fin de soirée. Plus de gens discutent ouvertement de problèmes personnels et de santé mentale.

« Je crois qu’un effet positif de tout ceci est qu’on engage ces conversations beaucoup plus souvent et facilement qu’avant », a déclaré Emily.

« Je crois que cela nous a menés à fonctionner de manière différente. »

Chez Torys, nous nous sommes toujours souciés de la santé mentale et du bien-être général de nos employés. Nous avons fait preuve d’un leadership remarquable dans ce domaine grâce à nos divers programmes, ressources et prestations en matière de santé mentale et avons mis beaucoup d’efforts pour favoriser un milieu de travail sécuritaire et sain, où il est important et nécessaire de parler de santé mentale et de s’en préoccuper.

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